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le 7 mars 2011
Marie-Laure Canteloube, vous êtes enseignante dans le secondaire et vous avez été formée à la Sorbonne Nouvelle, pouvez-vous vous présenter ?
Je suis professeur agrégée d'allemand en poste depuis plusieurs années dans un lycée du Val d'Oise et docteur de la Sorbonne Nouvelle depuis juin 2007. En effet, parallèlement à ma tâche d'enseignante, j'ai entrepris, il y a quelques années, une thèse à la Sorbonne Nouvelle sur « Anna Seghers et la France », sous la direction de Mme Anne Saint Sauveur. Ce travail faisait suite à un DEA sur Die Sammlung, une revue antifasciste de Klaus Mann. Il m'a demandé plusieurs années de recherche car il n'est pas toujours aisé de concilier vie professionnelle, vie familiale et recherches universitaires.
Pourquoi avoir choisi le métier d'enseignante ?Vous poursuivez également des travaux de recherche au sein du CEREG ?
Les activités de recherches au sein du CEREG (Centre d'Etudes et de Recherches sur l'Espace Germanophone), même si elles restent très modestes, me donnent la possibilité de garder un certain lien avec le monde de la recherche et donc de participer, à ma petite échelle, à cette grande aventure. En octobre 2010, j'ai participé au colloque organisé à la Maison Heinrich Heine par l'université de la Sorbonne Nouvelle et la « Anna Seghers Gesellschaft ». N'est-il pas passionnant de mettre à jour de nouveaux éléments et de les porter à la connaissance de tous ? De plus, j'espère pouvoir présenter prochainement à un public français intéressé ma thèse aux éditions de l'Harmattan. Par ailleurs, je suis persuadée que les connaissances que j'ai acquises et que j'acquiers profitent, de manière directe ou indirecte, à ma pratique professionnelle.
Avez-vous un message pour les étudiants de la Sorbonne Nouvelle ?mise à jour le 2 février 2017