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Margaux Cervatius, première étudiante de l'ESIT issue de la filière BEL (Banque d'Etudes Littéraires)

le 16 octobre 2013
 

Margaux Cervatius, première étudiante issue de la filière BEL (Banque d'Etudes Littéraires) à l'ESIT, et présidente du BDE de l'ESIT nous raconte son expérience.

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  • Pouvez-vous vous présenter?

Depuis le lycée je savais que je voulais être traductrice et l'ESIT est connue pour être la voie royale menant à ce métier. J'ai donc choisi une formation qui, selon moi, me préparerait au mieux aux exigences de l'école. C'est pourquoi après un baccalauréat littéraire, j'ai fait deux ans de classe préparatoire littéraire à Paris.
En deuxième année, j'ai suivi la spécialisation anglais (8h/semaine) afin de me préparer au mieux à l'examen d'entrée de l'ESIT.  J'ai donc préparé à la fois le concours de l'ENS et l'examen de l'ESIT. J'ai été acceptée à l'ESIT après avoir réussi l'examen d'admission, mais n'ayant pas encore décroché ma licence, j'ai reporté mon entrée à l'école d'un an et j'en ai profité pour faire un échange Erasmus d'un an en Angleterre. J'ai donc commencé mon master de traduction à la rentrée 2012. Cette première année à l'ESIT m'a confortée dans mon choix professionnel. En plus des cours centrés sur la traduction, j'ai pu avoir une approche concrète du métier de traducteur lors de stages (l'un à l'UNESCO, l'autre à l'OCDE). Depuis avril dernier, je suis également présidente du Bureau des étudiants, ce qui me permet d'échanger avec les autres étudiants et d'être au coeur de la vie de l'école.

  • Vous êtes la première candidate venue par le biais de la filière BEL (Banque d'Etudes Littéraires). Racontez nous votre expérience ?

La filière BEL concerne les étudiants en classe préparatoire. Auparavant, à l'issue des deux années de prépa, ces étudiants ne pouvaient passer que le concours d'entrée à l'ENS (Ulm et Lyon). Mais depuis quelques années, des accords ont été signés avec d'autres écoles (dont l'ESIT) afin d'offrir un plus grand choix de formations après la prépa. Dans mon cas, ayant été admissible à l'ENS, l'ESIT a étudié mes notes obtenues aux écrits du concours, mon dossier a été retenu et j'ai directement passé un examen d'admission ayant pour but d'évaluer mon niveau en traduction et compréhension des langues.

Même si la formation de l'ESIT est très différente de la prépa, le parcours BEL permet de mettre à profit les connaissances et la méthode de travail acquises en prépa. La prépa m'a appris à être rigoureuse et organisée dans mon travail et cela est utile pour tout métier.
 

  • Quels sont vos projets ?

Pour le moment, je me concentre sur la dernière année de master, et notamment sur mon mémoire. Après l'ESIT, j'aimerais travailler au Canada car il y a énormément d'opportunités pour les traducteurs là-bas (surtout quand on a le français et l'anglais dans sa combinaison linguistique). Et par la suite, je partage bien sûr le rêve de nombreux traducteurs : les Nations Unies...

  • Avez-vous un conseil à donner aux étudiants de la Sorbonne Nouvelle ?

Je ne sais pas si en tant qu'étudiante je suis apte à conseiller d'autres étudiants. Mais sinon je dirais qu'il ne faut jamais baisser les bras.


Type :
Portrait
Contact :
DISC Communication

mise à jour le 28 octobre 2013


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