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Le Service Arts et Cultures initie une Saison culturelle à la Sorbonne Nouvelle : une programmation culturelle ambitieuse et ouverte à de nouveaux publics, co-construite avec les composantes de l’université et les étudiant·e·s et appuyée sur des relations de partenariat avec les structures culturelles, les acteurs et actrices du territoire et le tissu artistique français.
Sur cette année universitaire, quatre artistes sont associé·e·s à la saison culturelle.
entrée gratuite
réservation en ligne sur notre billetterie
♦ Ce qui m’est dû - Cie La Débordante
Ce qui m’est dû est un moment de théâtre chorégraphique qui part de l’intime et du corps pour questionner crûment le politique. Quelle est notre place dans la société, quelle est notre responsabilité face à la crise écologique que nous traversons ?
C’est une rencontre : un comédien se fait porte-parole d’une danseuse, jeune femme et citoyenne. Celle-ci laisse circuler les mots autour d’elle et en prend parfois quelques-uns à bras le corps. Très personnel et générationnel mais aux potentialités universelles, le duo remet en cause notre système globalisé et nous interroge sur le sens de nos vies. Avec beaucoup de justesse et de simplicité, ce spectacle parle de nous. De notre lâcheté à nos prises de conscience au détour d’une conversation ou d’une conférence, tout y est.
Si l’inquiétude à propos des effets du réchauffement climatique est omniprésente, pas de discours moralisateur pour autant. Mais le sentiment d’urgence absolue, qu’exprime ce corps qui danse, nous met en mouvement.
Dans le cadre de l’Université d’été « En transition(s). Futurs écoresponsables et formations en arts et médias » organisée par l’École des Arts de la Sorbonne (Université Paris 1 Panthéon Sorbonne) et l’UFR Arts & Médias (Sorbonne Nouvelle).
Avec : Héloise Desfarges, Antoine Raimondi
Écriture : Héloise Desfarges, Antoine Raimondi, Jérémie Bergerac
Accompagnement artistique : Jérémie Bergerac
Photos et vidéos : Sileks
Avec le soutien de : Curry Vavart (Paris), le Jardin d’Alice (Montreuil), Animakt (Saulx-les-Chartreux), le Nouveau Relax (Chaumont) et la Bobine (Grenoble)
♦ Rencontre avec Marion Siéfert et Matthieu Bareyre
Rencontre avec Marion Siéfert, metteuse en scène et Matthieu Bareyre, co-auteur de la pièce Daddy.
Dans ses spectacles, Marion Siéfert, autrice, metteuse en scène et performeuse, nous fait entendre la révolte de la jeunesse face au monde des adultes. Elle interroge dans Daddy – avec les moyens bien réels du théâtre et des acteur·rice·s époustouflant·e·s - les rapports de domination et d’abus sexuel sur une enfant. Elle poursuit également sa réflexion sur les enjeux démocratiques liés au numérique.
Matthieu Bareyre est cinéaste et artiste associé à la Sorbonne Nouvelle. Au théâtre, il collabore aux pièces de la metteuse en scène Marion Siéfert. Il est le co-auteur du texte de Daddy.
en partenariat avec le Théâtre La Commune - CDN Aubervilliers qui programme le spectacle Daddy du 6 au 11 octobre.
♦ Nos corps empoisonnés - Marine Bachelot Nguyen
Nos corps empoisonnés nous plonge dans l’histoire de Tran To Nga, Vietnamienne engagée toute sa vie dans de multiples combats, anti-impérialistes, féministes, écologiques…
Jeune résistante dans le maquis pendant la guerre du Viêtnam, elle est exposée comme tant d’autres aux épandages américains de l’agent orange. Aujourd’hui depuis la France, elle mène un procès historique contre des firmes agro-industrielles états-uniennes, pour dénoncer les ravages de ce poison dans les organismes et la terre.
Porté par une jeune actrice, ce récit théâtral entrelace texte, performance, images vidéo de Tran To Nga ou d’archives. Pour raconter la vitalité de corps blessés et contaminés par les tragédies de l’histoire, toujours en lutte et en résilience.
Texte et mise en scène : Marine Bachelot Nguyen
Interprète : Angélica-Kiyomi Tisseyre Sékiné
Avec la participation de Tran To Nga
Vidéo, scénographie et costumes : Julie Pareau
Création lumières, régie générale : Alice Gill-Kahn
Son : Pierre Marais
Production : Gabrielle Jarrier
Diffusion : En Votre Compagnie / Olivier Talpaert
Presse : Maison Message
Production : Lumière d'août
Coproduction : Théâtre de Choisy-le-Roi, Le Quartz - Scène Nationale de Brest, CPPC - Théâtre l’Aire Libre, Théâtre du Champ au Roy, Le Strapontin, Scène de territoire de Bretagne pour les arts du récit
♦ (Projet) SILVIA - Marie Heck Mosser
Voyage au centre du premier passage, (projet) SILVIA adopte les codes du concert pour explorer les métamorphoses d’un monde au travers de la voix, du corps et de l’autre, au moment de la naissance.
À l’issue de la mise en espace, rencontre avec l’équipe artistique et les chercheuses du projet avec Charlotte Danino (Sciences du langage - Université Sorbonne Nouvelle) et les participant·e·s à l’atelier d’écriture Récit(s)/Maïeutique(s), recherche-création co-dirigée par Marie Heck Mosser et Charlotte Danino dans le cadre de la Cité des Écritures.
Écriture, mise en scène, jeu : Marie Heck Mosser
Composition, arrangements, set musical : Nicolas Puaux
Création sonore : Minouche Briot
Chœur / voix SILVIA : Angelo Heck
Accompagnement chorégraphique : Jessica Bonamy
Composition des chansons : Contre Feu
Composition musicale des récits : Etienne Nicolas
Collaboration scientifique : Maya Gratier (Éthologie Cognition Développement - Université Paris Nanterre / BabyLab), Chiara Caprini (Cosmologie Physique Théorique - Université de Genève / CERN)
Réalisation des images : Aurélie Lamachère
Avec des récits d’accouchement extraits d’ateliers d’écriture
Production : SARAH KONNOR / Rêve Ma Prod
Coproduction : Cité des Écritures - Université Sorbonne Nouvelle
Soutiens : Le CENTQUATRE-Paris / Les Studios de Virecourt « Incubateur » / T2G Théâtre de Gennevilliers-Centre Dramatique National / Le CALM-maison de naissance de Paris / Service Arts et Cultures - Université Sorbonne Nouvelle
♦ Panorama du cinéma colombien
L’association Le Chien qui aboie investit depuis 2013 les salles de cinéma parisiennes dans le cadre du festival Panorama du Cinéma Colombien, rendez-vous annuel d’une cinématographie en plein essor. Ce festival propose une programmation foisonnante, entre projections de films colombiens récents tous genres confondus (fiction, documentaire, expérimental et animation), tables-rondes, rencontres avec les réalisateur·rice·s et concerts.
Pour cette 11ème édition, la Sorbonne Nouvelle accueille une projection de rétrospective à la suite du festival. C'est l'occasion pour sa communauté étudiante de découvrir des films colombiens novateurs et très peu diffusés, afin d'enrichir le dialogue et les débats autour de thématiques contemporaines et universelles.
Le film projeté est lauréat du prix du public et du prix du jury de la 11ème édition du Panorama du Cinéma Colombien : Ana Rosa de Catalina Villar (documentaire, 93 min, 2023).
"Une unique photo d’identité retrouvée après la mort de mes parents : celle de ma grand-mère, Ana Rosa, morte avant ma naissance et dont on ne parlait jamais dans la famille. Je savais seulement qu’elle avait subi une lobotomie.
En tirant les fils de ce drame, j’explore les liens de la psychiatrie avec la société de son temps et la place très particulière des femmes dans cette histoire..."
♦ Portraits de famille. Les oublié·e·s de la Révolution française - Hortense Belhôte
Dans le cadre des tournées universitaires du Festival d'Automne à Paris.
Hortense Belhôte est à la fois enseignante d’histoire de l’art et comédienne. À la croisée de ces deux disciplines, elle propose des conférences performées qui tendent à populariser des concepts pointus, pensés par des universitaires ou des minorités, de manière ludique et documentée, en bousculant les hiérarchies culturelles. Chacune de ses conférences spectaculaires joue sur le plaisir de piéger notre propre culture avec ses interstices, dans une perspective volontiers féministe, queer et libertaire.
En partant du constat de sa propre histoire familiale, de ses discontinuités, déviances, adoptions, appropriations et autres indigestions coloniales, Hortense Belhôte s’attarde sur 1789 et la période révolutionnaire en tant que creuset des mythes fondateurs, avec une question simple : quels récits y puiser pour nourrir les veillées de nos futurs enfants ?
Car si nos ancêtres les Français, les « Vrais », ceux des peintures, ceux du premier 14 juillet, étaient des noirs, des femmes émancipées et des personnes non-binaires, c’est tout le paradigme de l’altérité qui est à reconsidérer. Qui est à la marge et qui est au centre ? Sur quels sédiments repose notre socle commun ? Et vivons-nous une époque aussi inédite que nous le pensons ? Alors tendons l’oreille, car c’est de nous tous que l’on parle.
Conception : Hortense Belhôte
Chant et créations musicales :
- Du Barry : Nabila Mekkid
- St Georges et D’Eon : Gérald Kurdian
- Jean Amilcar et Marie-Thérèse : Aitua Igeleke
- Thomas Alexandre : Sébastien Richelieu
- Madeleine : Anaïs Rosso
- La Méduse : Mathieu Grenier et Celia Marissal
- Zamor : Mexianu Medenou
Création vidéo : Theodora Fragiadakis
Production, diffusion, administration Fabrik Cassiopée – Manon Crochemore & Manon Joly
Production déléguée Fabrik Cassiopée
Coproduction Espace 1789 avec le soutien de Montévidéo - Centre d’Art, Carreau du Temple
La Fondation d'entreprise Hermès est mécène des tournées dans les lycées et les universités.
♦ Dans mon dessin. Anatomie de transition - Jenny Victoire Charreton
Dans mon dessin est une performance multimédia dans laquelle Jenny Victoire Charreton questionne sa transition de genre comme un départ sans retour. Vidéo, musique électronique, poésie, marionnette, dessin et témoignages se mêlent pour dresser l'univers dans lequel elle évolue, où elle raconte ses peurs, ses joies et sa colère qui gronde sous ses cheveux roses, portrait intime d'une femme trans qui lutte pour parler. Pour cette performance, l'artiste collabore avec l'autrice Luz Volckmann, qui a écrit les fragments poétiques avec lesquels Jenny s'adresse au public.
Avertissement : « nous, et les témoins entendu·e·s dans cette performance, évoquons ce que les personnes trans traversent dans une société transphobe, des sujets difficiles pour les personnes concernées, comme les agressions, la transphobie, les suicides, apparaîtront car ils sont notre réalité. »
Avec : Jenny Victoire Charreton
Composition, écriture, création plastique, création technique : Jenny Victoire Charreton
Autrice : Luz Volckmann
Aide à la création : Clémence Da Silva
Aide à la création plastique : Magali Lévêque
Technique son et vidéo : Kazy de Bourran en alternance avec Louise Busschaert
Production & diffusion : Clémentine Lévêque
Coproductions : Festival des Arts et Créations Trans (Lyon) ; L’Echangeur - CDCN Hauts de France (Château-Thierry)
Soutiens : Théâtre des Clochards Célestes, Centre Culturel Bonnefoy (Toulouse), Mairie de Toulouse, Festival des Arts et Création Trans, La Méandre (Châlon-sur-Saône), Théâtre de l'Elysée, La Chartreuse – Centre National des écritures du spectacle (Villeneuve-lès-Avignon), Conseil Départemental de la Haute Garonne et du CNC dans le cadre du DICREAM
♦ Grand échauffement avec Mathilde Monnier
« Je propose un grand échauffement que nous partagerons ensemble. Nous explorerons différents exercices liés à la voix, au mouvement, à la respiration, dans le but de trouver une danse commune. » Mathilde Monnier
Danseuse, Mathilde Monnier s’intéresse très vite à la chorégraphie et alterne créations de groupes et de solos. Elle présente un travail en constant renouvellement, dont les questionnements artistiques relient l’écriture du mouvement, l’emprise de la mémoire et la force de la musique. À la tête du Centre chorégraphique de Montpellier, du CND ou de l’école EXERCE, elle n’a de cesse d’ouvrir la danse vers d’autres champs artistiques.
en partenariat avec le Théâtre de la Cité internationale et la Fondation d'entreprise Hermès
♦ Beyrouth - Théâtre Majaz
♦ Les consultations poétiques
♦ Je suis une sirène & Portraits Détailles - Cie La Ponctuelle
SPECTACLES - Soirée double - Jeudi 7 décembre à 18h - Théâtre du campus
En déployant la figure chimérique de la Sirène, Aurore Magnier cherche à faire entendre un point de vue complexe et intime sur les questions identitaires, les violences systémiques faites aux femmes et enfin la sororité et la nécessité de soigner nos liens affectifs, ceux aux autres et ceux à soi-même.
Conception : Aurore Magnier
Interprétation : Léonor Boyot-Gellibert et Aurore Magnier
Vidéo : Fanny Dujardin
Espace et scénographie : Philémon Vanorlé
Chants : Sophie Sand et Law
Son : Romain Crivellari
Costumes : Perrine Wanegue
Un spectacle de La Ponctuelle
Coproductions Culture Commune, Scène nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais ; Le Manège, Scène Nationale de Maubeuge ; La Manekine, Scène Intermédiaire des Hauts-de-France ; le Vivat, scène conventionnée d’Armentières ; Scène Europe, Ville de Saint-Quentin.
Accueils en résidence La Passerelle, scène nationale de Saint-Brieuc ; Bain Public de Saint-Nazaire ; Le Grand Bain, La Madelaine sous Montreuil.
Avec l’aide à la création de la Région Hauts-de-France
♦ Hip-Hop Nakupenda : un solo d’Yves Mwamba - Anne Nguyen
Yves Mwamba a 12 ans lorsqu’il découvre le hip-hop à Kisangani, sur les décombres des guerres qui ont meurtri sa ville natale. Ce solo est le récit de son parcours, depuis la reconstruction d’une identité jusqu’à l’affirmation du rôle vital de la danse et de la responsabilité morale de l’artiste.
Par la danse, par la voix et par le chant, Yves Mwamba nous emmène à la découverte des danses ancestrales, des danses urbaines africaines et des stars Afro-Américaines qui ont forgé son identité, en passant par les dessous de la rumba congolaise et de la propagande culturelle en République Démocratique du Congo. L’intime se dévoile à cru, soutenu par la légèreté d’une histoire de la danse vue depuis l’Afrique, sous forme de déclaration d’amour.
Écriture : Anne Nguyen & Yves Mwamba
Interprétation : Yves Mwamba
Mise en scène et chorégraphie : Anne Nguyen
Conseil artistique : Yann Richard, Fabrice Labrana
Production : Compagnie par Terre / Anne Nguyen
Coproduction : L’Auditorium Seynod
Avec le soutien de : Mairie de La Courneuve - Houdremont centre culturel ; CND Centre national de la danse - mise à disposition de studio ; Théâtre de Chevilly-Larue
représentation en partenariat avec la Maison des Métallos
♦ L’Errance est notre vie - Simon Falguières
Simon Falguières crée une forme courte sans aucun décor, sur un plateau nu, mais avec costumes et accessoires. En une heure de jeu, se raconte l’aventure de Gabriel et de la princesse Anne qui s’aiment sans se connaître et se cherchent pour sauver les deux mondes en péril. S’y racontent des histoires de révoltes, de royaumes de contes, d’errance dans les cendres d’un monde disparu, de théâtre, de jeunesse et d’espérance.
Texte et mise en scène : Simon Falguières
Avec : Rosa-Victoire Boutterin, Jules Chagachbanian, Lawrence Davis, Elise de Gaudemaris, Raphaëlle de la Bouillerie, Jeanne Fuchs, Axel Godard, Gabriel, Gozlan-Hagendorf, Emmanuel Pic, Paul Thouret et Myrthe Vermeulen
La Belle Troupe est soutenue par la Direction Régionale des Affaires culturelles (DRAC) Île-de-France, BNP Paribas Real Estate, la Fondation de France et la Fondation Groupe Forvia.
représentation en partenariat avec Nanterre-Amandiers, CDN
♦ Festival des Cultures #3
Troisième édition de ce temps fort de l’université, le Festival des Cultures s’articulera cette année avec comme point de départ RE, une invitation à explorer les déclinaisons inspirantes de ce préfixe : réadapter, réapprendre, recueillir, rechercher, recomposer, recommencer, reconnecter, reconstruire, recréer, redécouvrir, redessiner, réécrire, regarder, réinventer, réjouir, relire, relier, repenser, réunir, reverdir…
This festival is also a platform to invite or build collaboration between European and international projects : reshape, remember, reduce, reflect, replace, refuse, release, relax, remember,... and other languages.
La programmation de cet événement sera disponible à la mi-janvier.
Une proposition du Service Arts et Cultures, co-construite avec l’ensemble de la communauté universitaire et les partenaires culturels et territoriaux.
♦ Howl 2122 - Laure Catherin
Howl 2122 est un projet d’écriture, de composition musicale et de performance live, proche du rap et du spoken word, destiné à nous rappeler combien le confinement a malmené et détruit la jeunesse de notre pays. Inspiré de De la Démocratie en Pandémie de Barbara Stiegler, une sorte de pendant très lointain au poème Howl d’Allen Ginsberg, Howl 2122 est aussi une ode à la liberté, un élan d’espoir pour une jeunesse privée de mouvement qui a dû contourner les lignes afin d’inventer de nouveaux codes.
Conception, écriture et interprétation : Laure Catherin
Collaboration artistique à la mise en scène : Delphine Battour
Composition et interprétation musicale : Raphaël Mars
Régie Générale, son et vidéo : Louise Prieur
Production LaDude
Production déléguée Festival Mythos/CPPC
Diffusion Le Bureau des Paroles
Coproduction Théâtre du Cercle – Rennes, Université Rennes 2
Soutiens Ville de Rennes (aide à l’accueil en résidence) et le Ministère de la Culture – DRAC Bretagne (aide à la reprise)
Accueil en résidence Maison Jacques Copeau – Pernand-Vergelesses
Accueil en résidence et soutien à l’écriture Maison du Livre – Bécherel
Avec le soutien de la Spedidam
♦ Pour un temps sois peu - Laurène Marx
Pour un temps sois peu est une histoire de femme trans par le détail, les détails dangereux, les détails cruels, mais les détails réels raconté par une personne qui l’a vécue, vraiment vécue. Dans sa chair et dans son amitié. Et pas une énième histoire fantasmée, écrite ou jouée par un ou une non trans. Pour un temps sois peu est un manifeste, une reprise de pouvoir sur la parole intime des trans. Une tentative de créer plus de culture. Plus de culture, pas plus de fantasme.
Ecriture et jeu : Laurène Marx
Mise en scène : Fanny Sintès
Création lumière : Solange Dinand
Production Cie Je t’accapare / FAB – Fabriqué à Belleville
Soutiens Libre Usine Nantes, Les fabriques de Chantenay - Nantes, Théâtre Ouvert - Paris, Bains Public - Saint-Nazaire, Nouveau Studio Théâtre - Nantes, La Ville de Paris
♦ L'Autre Rio - Emilie Beaulieu-Guérette
Le stade Maracanã brille de mille feux. Nous sommes en 2016, et toutes les caméras sont braquées sur l’inauguration des Jeux olympiques de Rio de Janeiro.
À quelques rues de là, c’est un tout autre monde. Assis sur un toit, des gamins regardent de loin les feux d’artifice. Nous sommes dans un bâtiment fédéral en ruine, sous le joug des trafiquants. Là vivent une centaine de familles marginalisées, dérobées au regard des prestigieux visiteurs internationaux. On y découvre peu à peu le lieu dans son intimité : au gré des rencontres les habitants se dévoilent, dessinant ensemble le portrait d’un Rio oublié et occulté.
En présence de la réalisatrice, Émilie Beaulieu-Guérette.
En partenariat avec le Bibliothèque Gaston-Miron et avec le soutien de l'Association internationale des études québécoises.
♦ Projection avec Le 7e genre
Le 7e Genre, « le ciné-club qui défie les normes », a été créé en avril 2013, au cinéma Le Brady (Paris 10ème) par Anne Delabre, journaliste passionnée du 7ème art et co-autrice du livre Le Cinéma français et l’homosexualité (Ed. Danger Public).
Le principe ? Le ciné-club programme des films de patrimoine, de toutes époques, de tous pays, de tous styles, qui traitent de questions de genres et/ou de sexualités minoritaires.
Toutes les projections sont suivies d’un débat en présence d’un·e ou plusieurs invité·e·s d’horizons divers : cinéastes, universitaires, critiques de cinéma, etc. Depuis sa création, le ciné-club a diffusé près d’une centaine de films, des grands classiques à redécouvrir aux œuvres plus confidentielles, parfois inédites en salles ou invisibles depuis leur sortie. Suivie d’une discussion animée par Anne Delabre.
♦ Journées de la création étudiante
Dans le cadre des JACES (Journées arts et cultures dans l'enseignement supérieur), nous vous proposons 4 jours de programmation 100% étudiante, afin de valoriser les artistes et acteur·rice·s du secteur culturel qui émergents sur le campus !
La programmation de cet événement sera disponible à la mi-mars.
mise à jour le 6 décembre 2023