Cette journée, qui associera des spécialistes de littérature française des XIXe et XXe siècle, des muséologues, des historiens des sciences et des spécialistes des arts de l’image s’est donnée pour objet de se pencher sur un univers encore assez peu exploré : l’imaginaire du Museum. Du Monde perdu de Conan Doyle à l’Adèle Blanc-Sec de Tardi, les exemples sont nombreux de l’entrée de ce lieu de savoir dans notre imaginaire par l’entremise des œuvres d’art. L’intérêt actuel pour la biodiversité et l’écocritique confère une vie nouvelle au Musée d’Histoire Naturelle et en fait un lieu privilégié de réflexion et de rêverie sur notre insertion dans le monde naturel qui nous entoure.