Comme les autres années, nous nous retrouverons, pour nos séminaires, le jeudi à 17h30 en salle 16 à l'Institut du Monde Anglophone, sauf indication contraire.
Jeudi 25 octobre 2012 : Michaël Oustinoff, « Auto-traduire le rythme : Beckett, Nabokov »
Jeudi 22 novembre 2012 : Marie Nadia Karsky fera une présentation générale et nous invitera à réfléchir à la question à partir de documents.
Jeudi 6 décembre 2012 : Conférence du Pr. Martine Hennard Dutheil de la Rochère, université de Lausanne, « 'FromTranslation (Perrimm) to Rewriting (Grimmault): Angela
Carter’s “Cinderella: or, The Little _Glass Slipper” and “Ashputtle or The Mother’s Ghost » A VOIR…
Jeudi 17 janvier 2013 : James Underhill (Rouen), « Voix : traduire la voix dans le
rythme et le rythme dans la voix »
Jeudi 14 février 2013 :
- Sophie Chiari (université de Provence), « La traduction du rythme dans La Tempête »
- Julie Tarif (université de Lorraine), « Perdre ou non le rythme de la ponctuation dickensienne ? Là est la question : réflexion à partir de quatre traductions d’Oliver Twist»
Jeudi 21 mars 2013 : Anthony Cordingley (Paris 8), «Meschonnic’s orality: a contentious rhythm».
Jeudi 18 avril 2013 (Petit Amphi) :
- Carole Birkan-Berz (Paris Descartes) (traduire le non-iambique) / Patrick Hersant (Heaney traducteur) (titres en attente)
Mardi 7 mai 2013 : conférence du Professeur GJV Prasad, Jawaharlal Nehru University, « Translating India »
Lundi 3 juin 2013, 14h30 : Conférence Maryvonne Boisseau (Université de Strasbourg), « Lire, faire : le poème et la traduction »
(délocalisé à NYU Paris, 56 rue de Passy, 15 places disponibles)
Lundi 10 juin 2013, 14h30, salle 12 : Conférence Ronald Jenn (Université Lille 3), « Le versant français de Nathaniel Hawthorne et Mark Twain comme révélé par la pseudo-traduction (1844 ; 1895-1896) »
Jeudi 16 mai 2013 : Anne-Laure Tissut (Rouen), « Traduire le rythme dans l’œuvre de Percival Everett : du dialogue au poème »
Jeudi 13 juin (17h) : Isabelle Perrin (Sorbonne nouvelle), « L’écriture du Vocalese à la française : traduction ou (re)création ? »