Quatre danseuses de hip hop livrent de façon brute leur monde et bousculent les codes et idées reçues.

« Raw » c’est la brutalité, et la douceur en même temps, celle du moment présent, vivace. « Raw » c’est hip-hop, c’est brut et ça sort comme ça sort. Là, maintenant.

Ces quatre B-Girls, très différentes mais soudées, racontent leur rage et leur joie intense de danser. Par leurs portraits croisés, elles nous livrent les codes qui fondent la danse hip-hop, le « game », sa beauté pleine d’ironie et sa violence, et la sororité permettant de nouvelles libertés. Dénué d’utopie et chargé d’espoir, c’est une manière brute, positive et sans filtre, de révéler ce qui demande à être transformé, transcendé.


Chorégraphie : Sandrine Lescourant
Avec : Ashley Beckett, Sonia Ivashchenko, Sandrine Lescourant et Dafne Bianchi

Une création de la Compagnie Kilaï
Production : Garde Robe
Avec le soutien de la coopérative artistique des Micro-Folies, du TPE de Bezons et du Théâtre de l'Étoile du Nord
Coproduction Collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne

Smith mène une vie tranquille sur le campus – il traîne avec sa meilleure amie, l’insolente Stella, couche avec la belle London, tout en désirant Thor, son sublime colocataire, un surfeur un peu simplet – jusqu’à une nuit terrifiante où tout va basculer.

Réalisation et scénario : Gregg Araki
Avec : Thomas Dekker, Haley Bennett, Juno Temple, James Duval
États-Unis, France
 

Une installation sonore et tactile où le corps a des histoires à raconter.

CORPS SONORES est une installation sonore, visuelle et chorégraphique qui offre aux auditeurs et auditrices de tous âges une expérience immersive qui les renvoie, le temps de l’écoute, à leur propre corps. Ils et elles entrent dans un espace baigné d’une nappe sonore immersive et se font masser tour à tour ; d’autres s’installent dans des assises spécialement conçues pour se relaxer et enfilent leur casque audio pour découvrir les pastilles sonores qui, mises bout à bout, forment une collection intime d’histoires de corps.

Séances le mercredi 2 octobre à 12h, 13h30, 16h et 18h
Séances le jeudi 3 octobre à 10h, 12h, 13h30 et 16h

Création : Massimo Fusco
Interprétation : Massimo Fusco et Fabien Almakiewicz
Conception du bain sonore : Vanessa Court
Composition des pastilles sonores : King Q4
Scénographie : Smarin

Production : Corps Magnétiques. Coproduction : le 3 bis f à Aix-en Provence ; le Domaine de Kerguéhennec ; la Fondation Royaumont ; la Chartreuse de Neuville ; le Centre chorégraphique national de Nantes et Chaillot - Théâtre National de la danse. Avec le soutien du ministère de la culture – Direction générale de la création artistique - Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France ; du conseil départemental du Val d'Oise - Abbaye de Maubuisson ; de la Maison de la Culture d’Amiens ; de Danse Dense à Pantin ; des Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine St Denis ; de l’Échangeur - CDCN et du TPE de Bezons

Une yourte sur le campus ! Un nouveau lieu d’échange et de déséquilibre. Un ancien gardien de phare, resté longtemps seul, se livre à un public entré dans une yourte à l’intérieur chaleureux, tamisé et intime. Il y parle de ses rencontres, de sa vie, de femmes et d’hommes qui sont entré·e<·s en lutte contre l’absurde et les injustices. Il y parle des algues vertes qui jonchent les plages de chez lui, du soja, « l’or vert », d’Argentine, de la chlordécone répandue aux Antilles… Il raconte surtout la force des gens qui enquêtent, des gens qui entrent en résistance, des gens qui, ensemble, trouvent des solutions. L’homme se révolte, manipule objets, infuse des idées, préfère le crayon au lancer de couteaux, et pratique le déséquilibre dans un rapport direct au public, qu’il va mettre à contribution, pour qu’ensemble, des solutions soient trouvées.

Séances le mardi 8 et jeudi 10 octobre à 12h30 et 18h
Séances le mercredi 9 octobre à 11h et 15h30

Artistes : Jonas Séradin et Ivan Aubrée
Soutien à l’écriture et Regards extérieurs : Tanguy Hoanen, Andrea Martinez et Chloé Derrouaz

La création est soutenue par : CirQ’ônflex (Dijon - 21), AY-ROOP (Rennes - 35), La Loggia (Saint-Péran -35), Cirk’éol (Montigny-lès-Metz - 57), Éclat(s) de rue - Ville de Caen (Caen - 14, Le Théâtre du Champs Exquis (Blainville/Orne - 14), Bleu Pluriel (Trégueux - 22), La CA Mont-Saint-Michel Normandie (Avranches - 50), Réseau RADAR /Le Fourneau (Brest-29), Les Esclaffades - Dinan (22), Amicale laïque de Saint Hélen (22), La Loggia - St Péran (35)

Un appel au réveil et à la raison face au plus grand défi de l’histoire de l’humanité. L’acteur Aurélien (Patouillard), physicien de formation, interprète la parole de l’astrophysicien et philosophe Aurélien (Barrau). En déplaçant le discours scientifique vers le corps de l’artiste, l’université au théâtre, le metteur en scène François Gremaud donne à percevoir par le sensible le drame écologique, cette urgence politique. Aussitôt, il prévient : « Ça ne va pas être très drôle ». Lors de la conférence sur la nécessité d’agir pour notre planète donnée à l’Université de Lausanne en 2019, Aurélien Barrau alerte sur « l’extermination massive » du vivant à laquelle nous faisons face et sur le besoin de redéfinir la croissance que nous voulons.

Dans le cadre du Festival d’Automne à l’université.
La fondation Hermès est mécène des tournées du Festival d’Automne dans les universités

Conception et mise en scène : François Gremaud
Texte conférence d’Aurélien Barrau, adaptation de François Gremaud
Avec : Aurélien Patouillard
Assistanat de tournée : Sarah Eltschinger et Anouk Werro

Production : Théâtre Vidy-Lausanne - 2b company
Spectacle créé dans le cadre du Théâtre des futurs possibles, un projet conçu et produit par le Théâtre Vidy-Lausanne, l’Université de Lausanne et la Fondation Zoein.
La 2b company est au bénéfice d‘une convention de soutien conjoint Ville de Lausanne et Canton de Vaud

République centrafricaine. Nestor, Aaron et Benjamin sont des étudiants en économie à l'Université de Bangui. Rafiki, le réalisateur, les a rencontrés en première année, ils ont étudié ensemble, ils ont lutté ensemble et chaque jour inventé des moyens de survivre. Les examens approchent.

Documentaire - 2022
Réalisé par Rafiki Fariala • Écrit par Rafiki Fariala
Congo Kinshasa (RDC), République centrafricaine, France

Deux voix pour un appel à ouvrir et partager nos héritages.

Lamine Diagne et Raymond Dikoumé apportent leurs regards croisés sur ce que l'on peut aujourd'hui nommer la « question noire » française. Ensemble, ils tissent un récit pour connecter leurs parcours personnels à la grande histoire, questionner leur afro-descendance et prendre conscience des héritages de l’histoire de la colonisation qui trouvent leurs prolongements dans l’incroyable diversité de notre pays.

Une conférence détournée qui mêle récit, vidéo et musique, où chacun se raconte avec humour tout en questionnant les discours dominants.

De et avec : Lamine Diagne et Raymond Dikoumé
Aide à la dramaturgie : Eric Maniengui
Metteuse en scène : Jessica Dalle
Son, vidéo et sound design : Éric Massua
Ressources archives : Matthieu Verdeil
Lumière : Thibault Gaigneux

Production déléguée L’ÉNELLE – Compagnie Lamine Diagne
Coproductions et partenaires - Théâtre de Grasse, Pôle Arts de la scène - Friche La Belle de Mai, Marseille - La Maison du Conte, Chevilly-Larue - Centre des arts du récit, Scène conventionnée d’intérêt national art et création Saint-Martin-d’Hères, Forum Jacques Prévert, Carros - Théâtre Durance, Château Arnoux - Théâtre Fontblanche, Vitrolles - Théâtre des Bergeries, Noisy-le-Sec - Transversales scène conventionnée Cirque à Verdun
L’Énelle – Compagnie Lamine Diagne est conventionnée par la Drac PACA, soutenue par la Région Paca, le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille et la Sacem.

Spectacle accueilli en coréalisation avec La Maison du Conte.

Danser sa politique et politiser sa danse, punchline de vie de Habibitch, artiste-activiste queer.

Habibitch s’empare du voguing et du waacking - deux danses créées par des communautés LGBTQIA+ américaines des années 70 - pour mettre en évidence les systèmes qui façonnent nos rapports sociaux quotidiens. Elle propose une conférence-dansée comme outil pour penser les systèmes qui façonnent nos rapports sociaux quotidiens. Racisme, privilège(s), domination(s), résistance, création, communauté(s), autant de concepts fondamentaux disséqués sous une loupe décoloniale acerbe et dans une mise en mouvement littérale rythmant la parole. Décoloniser le dancefloor est une performance à l’image de son interprète, incarnée, complexe, percutante, drôle, résiliente, engagée, politique.

De et avec : Habibitch

Existe-t-il un rapport entre douleur, création et beauté ? Une pratique transgressive pourrait permettre de nouvelles inspirations poétiques.

Dans le Phèdre de Platon, Socrate affirme l'existence d'un rapport entre délire érotique et délire poétique. En invoquant les muses dans le Jardin de la Vierge, nous voulons mettre cette intuition à l'épreuve des faits. L'Invocation à la muse met en scène un poëte en panne, qui appelle les muses en renfort pour improviser un poëme sous les yeux du public. Mais en lieu et place des divinités antiques, une muse improbable fait son apparition. Sa férule (tantôt caressante, tantôt menaçante) fait émerger une voix nouvelle et pousse le poëte vers des horizons inconnus.

Conception et interprétation : Caritia Abell, Vanasay Khamphommala et Théophile Dubus
Collaboration artistique : Théophile Dubus
Son : Gérald Kurdian
Costumes : Juliette Seigneur

Production : Compagnie Lapsus chevelü
Coproduction : Théâtre Olympia - Centre dramatique national de Tours, SACD, Festival d’Avignon

Vanasay Khamphommala est artiste associée à la Sorbonne Nouvelle.

Sorah est une rappeuse berlinoise qui propose un rap conscient et brut avec un message politique fort en anglais, français et allemand. Dans son propre mélange de « in your face rap », de rythmes entraînants, et de sons souls, elle rappe et chante contre le racisme, le sexisme et toutes les formes d'oppression, appelant à la solidarité et à la liberté. Depuis de nombreuses années, le beatmaker et producteur non-binaire SPOKE produit des beats sur la scène rap FLINTA et au-delà (Ostberlin Androgyn, Finna, Nashi 44....). Propriétaire de son propre studio d'enregistrement à Berlin, Spoke milite pour l'autonomisation et la création d'espaces sûrs pour les femmes et les artistes queer dans l'industrie de la musique.

Qu’est-ce qui se relève en nous après un KO ?

À partir d’interviews et d’un travail documentaire auprès de femmes et personnes queer qui confrontent leurs corps aux coups, Rafi Martin s’intéresse à ce qu’un sport de combat peut apporter, symboliquement et physiquement. Transformée en salle de boxe, la scène est sculptée par la lumière. Un athlète s’y entraîne et s’y confronte aux éléments dans un étrange équilibre suspendu, bougeant les lignes des représentations. Dans un rituel de lutte intérieure, son corps devient un espace potentiel de solidarités, de poétique des muscles et de la résistance, à la recherche d'une utopie de genre, physique et sociale.

Idées, jeu, conception : Rafi Martin
Mise en scène, conception : Julika Mayer
Création sonore : Méryll Ampe
Lumières/Espace : Joachim Fleischer
Voix : Pepe Awesome, Rahel Crowford Barra et Makisig Akin

Production : Rafi Martin
Coproductions Fond Transfabrik - Fond franco-allemand pour le spectacle vivant I Festival international figuren.theater.festival à Erlangen I Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes in Charlevilles-Mézières I TJP Centre Dramatique National - Grand Est à Strasbourg I Festival BAFF! Marionnettes contemporaines à Bâle I IMAGINALE Festival international de théâtre de formes plus animées
​Avec l’aide de : Bureau Culturel de la ville de Stuttgart I NPN Stepping Out - Joint Adventure
​Avec le soutien de : Festival international de marionnette contemporaine Fidena à Bochum I Fonds Darstellende Künste, fonds du Commissaire du gouvernement fédéral pour la culture et les médias, programme NEUSTART KULTUR I Institut Français Stuttgart I Theater Rampe, Stuttgart I Boxgirls Berlin e.V.

En février 2022, une équipe de journalistes ukrainiens de l'Associated Press, piégée dans la ville assiégée de Marioupol, filme les atrocités de l'invasion russe. Seuls reporters internationaux sur place, ils capturent ce qui deviendront plus tard des images marquantes de la guerre.

Documentaire - 2022
Réalisé et écrit par Mstyslav Chernov
Ukraine • 95 minutes

Portrait d’une jeunesse en feu, par une chorégraphe ivoirienne de retour dans sa ville natale.

Comme la chorégraphe, les danseuses Anoura Aya Labarest et Christelle Ehoué ont grandi à Abobo, quartier populaire d’Abidjan (Côte d’Ivoire). Elles ont dû prendre (faire) place en déconstruisant une féminité assignée. Entre coupé-décalé, roukasskass et figures acrobatiques, Aya a gagné le surnom de « la Chinoise » en raison de la vitesse de ses mouvements, tandis que Christelle, par sa corpulence, est devenue « Gros camion », surnom qu’elle assume avec un charisme irrésistible. Leur rapport à la ville, leurs rêves et leurs féminités ont inspiré un duo de danse incandescent. Avec ces « Filles-Pétroles », Nadia Beugré propose un puissant portrait d’une jeunesse en feu.

Direction artistique I Nadia Beugré
Assistant I Christian Romain Kossa
Interprètes I Anoura Aya Larissa Labarest et Christelle Ehoué
Musique originale I Yoan Richard
Autres musiques I Fally Ipupa Seul amour, Roma Chiyaya Sur le beat
Création lumière I Beatriz Kaysel

Production : Libr’Arts / Virginie Dupray / Coproduction : La Briqueterie CDCN du-Val-de-Marne, Le Théâtre de Rungis, CCN2 Grenoble - Accueil studio, Théâtre Molière de Sète Scène nationale Archipel de Thau, ICI CCN de Montpellier Occitanie
Avec le soutien du Goethe-Institut Abidjan dans le cadre du Fonds A(RT)VENIR et de la DRAC Occitanie – Ministère de la Culture et de la Communication.
Remerciements : Institut français de Côte d’Ivoire, Ivoire Marionnettes

Rose a 29 ans et un projet : quitter la France pour « retourner en Noirie ». Quand Matthieu Bareyre, l'un de ses plus proches amis, lui propose de faire un film avec elle inspiré de son journal intime, ils y voient l'occasion rêvée d'exorciser quelques démons.


Documentaire - 2023
Réalisé par Matthieu Bareyre
Écrit par Rose-Marie Ayoko Folly, Matthieu Bareyre, Marion Siefert
France • 108 minutes

Comment le collectif et la tendresse permettent de se libérer de l'emprise du regard des autres sur nos corps.

Quelle place occupe notre corps dans la construction de notre identité ? Comment le regard de l’autre modifie la vision de notre corps ? Le chorégraphe Arthur Perole réunit quatre jeunes vingtenaires en un chœur où mots, gestes et mouvements sont intimement liés puis déliés. À l’emprise du regard des autres sur nos corps, Tendre Carcasse répond par la nécessité du collectif et la tendresse du lâcher prise.

Conception et mise en scène : Arthur Perole
Chorégraphie en collaboration avec les interprètes : Arthur Bateau, Matthis Laine Silas, Elisabeth Merle et Agathe Saurel
Collaborateur artistique : Alexandre Da Silva
Création lumières : Anthony Merlaud
Création musicale et régie son : Benoit Martin
Création costumes : Camille Penager

Coproduction Ballet Preljocaj / CCN d’Aix-en-Provence, Carreau du temple, Etablissement culturel et sportif de la Ville de Paris , Le Gymnase – CDCN Roubaix, 3BisF - centre d’art contemporain à Aix-en-Provence La Commanderie – Saint-Quentin-en-Yvelines
Avec le mécénat du groupe de la Caisse des Dépôts
Avec le soutien de KLAP Maison pour la danse
Mise à disposition de studio au CN D Centre national de la danse
La compagnie est soutenue par la DRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, le département des Bouches-du-Rhône, et la Ville de Marseille.

Arthur Perole est artiste associé à la Sorbonne Nouvelle

Une radio en pleine création.

La radio publique est issue du théâtre. Même si aujourd’hui les fictions radiophoniques appartiennent plus souvent au registre de la série et s’inspirent de formats issus de l’audiovisuel, France Culture a gardé un lien privilégié avec le théâtre radiophonique. Tous les dimanches soir, des pièces d’auteurs de théâtre sont présentées. Elles sont enregistrées dans des studios mais aussi en public afin d’aller à la rencontre des auditeurs – spectateurs, et leur donner ainsi la possibilité d’assister à de la radio « en train de se faire ». Vous pourrez assister à l’enregistrement d’une pièce où acteurs, actrices, bruiteuses, équipe technique seront rassemblé·e·s sur le plateau du théâtre, sous la houlette du réalisateur de fictions Baptiste Guiton.

Réalisation : Baptiste Guiton
Directrice des fictions de France Culture : Blandine Masson
Coordination de la production : Chloé de Palluel-Mauduy

Une polyphonie de voix de patient·e·s en hôpital pour partager son empathie et radiographier nos liens.

À l’origine de cette pièce, il y a l’immersion dans le service addictologie d’un hôpital. Un moment fort de rencontre mais aussi une façon de se reconnecter aux outils du théâtre, dans leur expression la plus simple. Pour des patientes et patients que l’estime de soi a désertés, se déplacer, affirmer sa présence, porter son regard, sont autant d’exercices de remise en confiance. C’est avec cette même simplicité que Thomas Quillardet se présente pour raconter son expérience. Quelle parole circule quand se rencontrent des personnes en tentative de sevrage, des soignantes, des soignants débordé·e·s et un metteur en scène ? En addicto déploie récits et histoires, moments de joie ou de vide. C’est aussi un regard documentaire sur l’hôpital, l’addiction et le soin, traversé par une question vertigineuse : Comment apaise-t-on sa douleur ?

Texte, Mise en scène et Interprétation : Thomas Quillardet
Collaboration artistique : Jeanne Candel
Dramaturgie : Guillaume Poix
Lumières et régie générale : Milan Denis
Collaborateur·rice·s : Titiane Barthel, Ernestine Bluteau, Frédéric Gigout et Guillaume Laloux

Production 8 AVRIL
Coproductions Festival d’Automne à Paris, Théâtre de la Ville-Paris, Le Trident-Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin, La Rose des Vents-Scène nationale Lille Métropole à Villeneuve-d’Ascq.
Avec le soutien en résidences de création de L’azimut à Antony-Châtenay-Malabry, La vie brève-Théâtre de l’Aquarium, Théâtre Jacques Carat de Cachan et Théâtre ouvert.

Spectacle accueilli en coréalisation avec le Théâtre de la Bastille