Au dix-neuvième siècle, nombreux sont les poètes et romanciers qui se font critiques dramatiques dans les journaux et les revues. On connaît les cas de Théophile Gautier et de Gérard de Nerval à La Presse, de Théodore de Banville au Corsaire-Satan, d’Alphonse Daudet au Journal officiel de l’Empire puis de la République, d’Émile Zola au Bien public. Alors que le phénomène s’accentue au vingtième siècle, les travaux manquent sur le sujet. Les historiens de théâtre mettent l’accent sur les revues. Les critiques sont les oubliés de la recherche...