Par sa régularité annuelle il garantit une veille sur les bonnes conditions de réalisation de la thèse et un soutien complémentaire de celui du/de la directeur.trice de thèse . Il permet aussi, par la distance qu’il instaure entre le(a) directeur(trice) de thèse et le(a) doctorant-e de rendre la parole plus libre. Son rôle est d’autant plus important que le(a) doctorant-e connaît des difficultés, indépendamment de leur nature. Les membres du CSI pourront donner leurs éclairages sur la présentation succincte de l’avancée du travail du(de la) doctorant-e, mais ils ne se substitueront pas au directeur(trice) de thèse dans l’encadrement du travail. Ils feront état, dans le rapport écrit et signé par eux et par le/la doctorant.e, de l’ évolution du travail et des obstacles rencontrés chaque année.

Enfin, les membres du comité de suivi peuvent devenir les témoins de situations de harcèlement. Leur rôle est d’avertir dans ce cas la direction de l’école doctorale .

Ce rendez-vous annuel ne représente donc pas une évaluation du travail du(de la) doctorant-e, mais plutôt une occasion qui lui est offerte pour faire le point sur ses conditions de travail et l’avancée de ses recherches, et d’échanger avec d’autres interlocuteurs dans un climat de bienveillance.

Le(a) doctorant-e doit transmettre aux membres du CSI avant la rencontre les documents suivants :


•    Le projet de thèse (avant la première rencontre)
•    Le portfolio ici [DOCX - 103 Ko](chaque année)
•    Une présentation de l’évolution de l’avancée de la thèse depuis le dernier CSI de 5 pages maximum (chaque année)


Organisés par le(la) directeur(trice) de thèse, les CSI se déroulent en deux temps :


A. Le/la doctorant.e expose l’évolution de son travail aux membres du CSI et en l’absence de son(sa) directeur(trice) de thèse, après quoi les membres du CSI s’entretiennent avec le(la) doctorant-e.

B. Dans un second temps, les membres du CSI s’entretiennent avec le(la) directeur(trice) de thèse, en l’absence du(de la) doctorant-e.

Le rapport du comité de suivi téléchargeable ici [DOCX - 82 Ko] est signé par les membres du CSI et par le(la) doctorant-e. Il est ensuite transmis à Manuela Stieg et au(à la) directeur(trice) de thèse.

La transmission du rapport est indispensable pour la réinscription administrative du(de la) doctorant-e.

Chaque année le CSI doit se tenir même si vous êtes en cotutelle. En revanche vous n' êtes pas contraint de faire le CSI dans chaque université.  Si il n' y a pas de dispositif de suivi dans l' université de cotutelle alors il faut faire appel au comité de suivi de la Sorbonne Nouvelle. Si un dispositif équivalent au CSI existe dans l’université de cotutelle, l’organisation d’un CSI en France n’est pas nécessaire, à condition qu’un procès verbal soit transmis à Manuela Stieg avant la réinscription.

Les comités de suivi doivent se tenir au second semestre de chaque année, entre le mois de janvier et le 15 juillet, date limite de l’envoi du procès verbal à Manuela Stieg.
Nous attirons l’attention des directeurs de recherche sur la possibilité d’organiser ces rencontres pendant toute la durée du second semestre, y compris afin d’éviter une trop forte concentration de ces réunions au début de l’été.

Dés que les dates des rencontres sont fixées le doctorant transmet aux membres du CSI :


•    Le projet de thèse (avant la première rencontre)
•    Le portfolio téléchargeble ici [DOCX - 103 Ko](chaque année)
•    Une présentation de l’évolution de l’avancée de la thèse depuis le dernier CSI de 5 pages maximum (chaque année)


Si la soutenance de thèse est prévue avant la fin du mois de décembre de la dernière année, il n’est pas nécessaire de renouveler son inscription au mois de novembre, ni donc d’organiser un entretien avec le CSI avant l’été. Il suffit d’en informer Manuela Stieg et le Service des doctorats.